Nom/Prénom: Altaïra/Emara
age: 122 ans
origine: Elfe
histoire:Tout commence il y a un peut plus de 122 ans, dans la cité d'Ellesmara, ville Elfique caché depuis des lustre aux regard des Humains. Inrassia, espionne aux service de la reine du beau peuple, rencontre un homme: Tyrria. Elle fit vite de lui un ennemie, qui de plus était un ennemie redoutable. Redoutable enemie, certe mais pour Inrassia, que l'on avait surnomé le renard, la ruse n'avait pas de secret. Elle charma Tyrria pour l'empoisonner en secret. Mais ma mère, car s'était elle, avait tendance a sous estimé ses ennemie. Tyrria, dont aujourd'hui je connais l'identité sous celle de mon père, lui aussi connaissait la ruse. C'était deux elfes, et les deux moururent bien jeune, pour des représentant de leur espèce. Lui aussi, empoisonna Inrassia. Tyrria, mourut dans les deux jours qui suivirent. Outré par son acte, la reine l'envoya en exile, ne connaissant ni mon existence, ni celle du poison qui s'écoulait dans ses veine ma mère était en bien mauvaise posture.
Elle alla dans la Forêt du Du Weldenvarden, que les humain appelle aussi La Forêt gardienne, et commença une vie solitaire. Condamné a l'exil pour l'éternité, il ne restait plus que d'elle une elfe déchut et dépressive privé de ses droits. A ma naissance, elle m'éleva, la surprise lui avait fait oublier sa dépression, mais trois ans plus tard, lorsqu'elle ressentit le poison dans ses veines, tout lui revint en mémoire Tyrria, Ellesmara, l'exil. Tout lui apparaissait comme un plan machiavélique dont elle était la principale victime. La jour de mes quatre ans, le poison l'acheva, l'état dans lequel elle s'était mise sûrement également.
Vous vous demandez certainement comment je connais certain détails, certain qui ont eu lieu bien avant ma naissance, vous allez comprendre dans cette étape du récit...
Les trois jours après la mort de sa mère elle partit, si la faim et la douleur moral ne purent me décider a abandonner sa mère, la soif y parvint. Partant en quête d'eau, alors que je n'avait a peine quatre ans, seule dans la foret je songeait a se qui s'était passé, quand survint un tremblement de terre. J'étais au bord de l'eau, et s'est avec surprise que j'avais constaté les galets qui bordaient la rivière roulez tout seul. Un arbre tomba, alors seulement, je me rendit compte du drame que se déroulait sous ses yeux et bien que mon instinct me dise de ne pas s'éloigner de l'eau, les roncier qui la bordait me contraignirent a partir, tombant, rampant a cause de la terre qui bougeait, tremblante de peur je ne comprenait plus le monde qui l'entourait. A bout de souffle je m'évanouie.
Quelque heures plut tard, lorsque je repris connaissance, j'étais dans une véritable ville. Un magicien elfe, m'expliqua plus tard que s'était un endroit ou se rendait les elfe voulant médité.
J'étais alors trop jeune pour comprendre se qu'il se passait, se qu'il m'était arrivé, se qui m'arriverait. Aujourd'hui je le sais, je le comprend, je le voie.
Je découvrit assez vite, dans cette ville étrange, une gilde très fermé. Je fut admise au test, et l'on me permit d'apprendre se que ses professeur avaient a m'enseignez. Ce fut la bas, que je découvrit se qu'il s'était passée pendant mon enfance, même avant. Car ils m'apprirent un peu de tout: La politique, ou plutôt dictature, de l'Alagaesia, l'ancien langage, qu'il n'eurent pas beaucoup a m'apprendre car s'était inné chez moi, la géographie, la vie en société...
Je vécut ainsi, heureuse, dans cette cité elfique les 70 première années de ma vie, jusqu'au jour, ou Galbatorix fit ravagé la cité, je partit rapidement, survivent a l'attaque de l'empereur. Je savais que mon bonheur ne serait pas éternelle, car si j'ai appris une chose, c'est qu'aucun moment ne durent, les bons, comme les mauvais. Mais ayant appris plusieurs rudiment de savoir au sein de cette gilde je put survivre seul. Ayant aussi, appris le maniement des armes je put chassez. Bien que les elfes ne mangea généralement pas de viande, j'y fut contrainte pour survivre.
N"ayant plus personne a côtoyer, je me renferma et perdit l'habitude de la vie en société. Les rares espèce qui s'était approché de la caverne ou j'avais élut domicile m'était hostiles, et la plupart ont donc périt aux bout de ma lame. Le temps de solitude que j'ai passé m'ayant rendu méfiante et cruelle, il faut du temps pour gagner ma confiance, car je me suis enfermé dans une prison de douleur et de souffrance, dont j'ai moi même érigé les mur...
description physique:Les cheveux d'Emara sont d'un bleu azur mais parfois, ils virent sur le violet quand elle est déprimée. Sa chevelure est assée opulente, elle y accroche généralement des accessoires. Sa coiffure qu'elle porte le plus souvent, par goût et pour une question d'utilité de cette coiffure qui lui dégage le visage est un ruban derrière la tête, une a deux mèches attaché de chaque coté de sa tête et une barrette de chaque coté. es yeux violet, souvent comparés a des améthyste sont profond, lorsqu'on les regard trop longtemps ont a l'impression de se penché dans une eau trouble et profonde et si on sais y regarder attentivement, ont peut déduire le malheur de son passé car tout est gravé dans son regard...
Souvent habiller de robes longues déchirer dans un coin pour lui permettre de bien bouger, de ses habits en lambeau naisse quand même un charme particulier car il reflète sont caractère. Elle se tient toujours très droite, et malgré son apparence fragile sa fine musculature rend ses mouvements fermes. Fine et élancée, ses mouvements sont gracieux et souples et elle se déplace sans problème discrètement car ses pas sont très silencieux. Sa peau, bien qu'étant très pâle, glace éternelle supporte la lumière du jour et même les temps les plus chaud et aride. Dans la noir, ses yeux deviennent dans violet éclatant, elle supporte mieux l'obscurité que la lumière, pour elle les ténèbres de la nuit sont un renouveau de la nature, c'est aussi un renouveau pour Emara qui ressent les vibration de la nature comme si elle était dans sont propre corps
Quel rang a t'il:
-Autre suggèrer : Guèrrière vagabonde contre l'empire
HJ) Combien de livre Eragon avez vous lu:
Deux, je sais c'est pas original; mais trois c'est dur^^